« Guitare, basse, percussions, cuivres, graves fréquences et autres effets de réverbération servent les mots de ce sombre et doué parolier. »
- Alain Brunet, La Presse
« Il demeure, plus que jamais, un authentique trésor. Trésor qu’on a le privilège de côtoyer de son vivant.[...] c’est à Coup de coeur francophone, autre festival de novembre de la ville lumière, qu’on a pris définitivement conscience de sa grâce inouïe. [...] Il offre à chaque chanson un supplément de vie et d’émoi. Voix à fleur de peau. Paroles d’une entêtante noirceur. Antoine Corriveau dresse une toile orageuse à des histoires d’humains déçus. Ses flammèches chancelantes éblouissent, consolent et réchauffent. On risque de s’y brûler longtemps. »
- Patrice Demailly, Tsugi Magazine
« Antoine Corriveau ne cesse de progresser. C’est certainement impressionnant de voir comment ses sonorités évoluent au fil des œuvres, sans non plus dénaturer sa personnalité. [...] C’est sublime. Rien de moins. »
- Louis-Philippe Labrèche, Le Canal Auditif
« Fidèle à son habitude, Corriveau y va d’une poésie saisissante. »
- André Péloquin, Le Journal de Montréal
« L’ambiance est planante, lourde, sa voix puissante s’ancre sur des vagues musicales allant souvent crescendo. Harmonuim et Pink Floyd ne sont pas loin… Un show impec ! »
- Longueur d'ondes
« [...] un artiste francophone accompli et minutieux qui n’hésite pas à explorer des mondes sonores incompris pour certains, mais fabuleux pour d’autres. »
- Victor Perrin, Sors-tu.ca
« [...] la première sortie francophone de Secret City Records (Patrick Watson, The Barr Brothers, Leif Vollebekk). Ce n’est pas rien. Et ça en dit long sur le respect du milieu pour les compositions et les textes d’Antoine Corriveau. [...] Cette belle bande n’a pas hésité à nous en mettre plein la gueule avec des versions rock de ses chansons [...] C’était un spectacle magnifique porté de façon de maître par Antoine Corriveau qui démontre encore une fois son talent indéniable. »
- Louis-Philippe Labrèche, Le Canal Auditif
« On l’a écouté toute la semaine. Et force est d’admettre que Cette chose qui cognait au creux de sa poitrine sans vouloir s’arrêter est un sapré bon album. Du genre, l’un des meilleurs de l’année. [...] un disque, complet, luxuriant. Un disque des grandes émotions.»
- Marc-André Mongrain, Sors-tu.ca
« C’est très foncé, c’est très beau. [...] de l’indie folk de chambre et du trip hop orchestral avec les meilleures chansons francophones d’Amérique au programme automnal : celles du doué Antoine Corriveau. »
- Alain Brunet, La Presse
« Après Les Ombres Longues (2014), Antoine Corriveau s’offrait une barre bien haute à franchir pour son troisième album et réussit avec brio [...] Marquante par ses cuivres et percussions favorables aux ambiances enfumées et langoureuses que Corriveau s’offre, cette nouvelle mouture se taille une place parmi les grandes.»
- Julie Ledoux, Voir
« Armes: une guitare et l'étau de sa poésie magnétique. Délits: signer des chansons à s'écorcher les yeux. Avoir l'éclat de l'or et le poids du plomb. [...] Cette chose qui cognait au creux de sa poitrine sans vouloir s'arrêter prolonge la nuit blafarde, hypnotique, des Ombres longues. La descente aux Enfers se poursuit, dans les effluves glauques d'une vibrante agonie où la répugnance côtoie le sublime. »
- Yves Bergeras, Le Droit
« Par la force évocatrice de ses mots, sa voix grave et sombre et ses musiques qui oscillent entre l’ombre et la lumière, Antoine Corriveau est l’un des auteurs-compositeurs-interprètes de la nouvelle garde québécoise qui suivent de plus près les pas de Leonard Cohen. »
- Émilie Côté, La Presse
« Un disque langoureux, envoûtant, à la fois sombre et d’une saisissante beauté. Antoine Corriveau nous a livré sans l’ombre d’un doute l’un des plus grands disques de la dernière année. »
- François Marchesseault, ICI Musique
« La barre était haute pour Corriveau : Les ombres longues est un album très, très, très solide, un des meilleurs albums francophones de sa cuvée. Ça tombe bien, Antoine avait de grands projets pour son successeur : une des propositions les plus ambitieuses parues au Québec ces dernières années. »
- Jacques Boivin, Ecoutedonc.ca
« Antoine Corriveau a voulu faire un « album dansant », et son interprétation de ce qui fait bouger est très intéressante, mais surtout d’une beauté incandescente. Des textes ténébreux déclamés de façon dramatique, sur un lit musical orchestral et sombre – la musique de Corriveau nous marque au fer rouge. »
- Pierre-Alexandre Buisson, Nightlife
« En plus d’être un interlocuteur captivant, l’homme est un parolier d’exception [...] Peu d’artistes québécois peuvent se targuer d’avoir conçu une œuvre parfaitement campée entre le légendaire Jaune de Jean-Pierre Ferland et le penchant mélancolique d’une galette du bon vieux Nick Cave. »
- Stéphane Deslauriers, Le Canal Auditif
« [...] cet album ne fait pas que s’écouter, il se ressent, il se vit. [...] Cette chose qui cognait au creux de sa poitrine sans vouloir s’arrêter est pour moi, sans contredit, l’album québécois de 2016. Pour ses émotions. Pour les expérimentations. Pour son caractère complètement unique dans notre paysage musical.»
- Jacques Boivin, ecoutedonc.ca
« Antoine Corriveau fait partie de ces artistes qui n’aiment pas s’arrêter et qui aiment aller encore plus loin, d’album en album. Cette chose qui cognait au fond de sa poitrine sans vouloir s’arrêter surpasse l’excellent Les Ombres Longues, paru il y a deux ans. »
- Isabelle Lareau, Bible Urbaine
« Tous les ans, au Québec, on a toujours cette petite poignée d’albums qui sortent et qui nous font nous arrêter un moment, en restant silencieux, pour ensuite nous faire monter en soi cet intense et palpable sentiment de fierté. Un diamant brut. Cette chose qui cognait au creux de sa poitrine sans vouloir s'arrêter est le troisième album d'Antoine Corriveau et fait partie de cette petite liste d'exception. »
- Simon-Albert Boudreau, Ton barbier
« [...] une plume puissante et maîtrisée qui n'a aucunement besoin de musique pour se justifier. [...] il s'en dégage une force brute ainsi que des mélodies qui ancrent leur poison profondément chez l'auditeur, promettant une écoute qui mûrira avec le temps.»
- Ariane Gruet-Pelchat, BRBR
« À plusieurs reprises sur l’album, les musiciens atteignent un climax musical à nous donner la chair de poule, le tout en symbiose avec des paroles évoquant de vigoureuses images cinématographiques. »
- Élise Jetté, Feu à Volonté
« Cette troisième création est plus que réussie. [...] Il s’agit de l’un des meilleurs albums à être sorti au Québec cette année, à mon humble avis, quoique je ne suis pas la seule à le dire. »
- Mélissa Thibodeau, MatTV.ca
« Un travail de studio exceptionnel, grande prise de son mais surtout des textes qui sont d’une profondeur et d’une richesse, c’est vraiment exceptionnel! »
- Jean-François Côté, ICI Radio-Canada
« On est en octobre, et il aura fallu attendre toutes ces saisons pour enfin avoir droit à son album de l’année, la cuvée 2016 [...] Parce que les arrangements de cordes, parce que les cuivres, parce que les mélodies trop honnêtes pour être à tue-tête, parce que les mots, tordus, enfilés en perles, crachés ou dit tout bas, ces phrases qui résonnent comme des empreintes dont on ne distingue pas la couleur. »
- Yolaine Maudet, Neuf Bulles dans le ciel
« [...] Antoine Corriveau y crée une ambiance aussi sombre que fascinante. Les arrangements orchestraux grandioses, les textes – tout de ce disque nous enveloppe dans une bulle mélancolique pas du tout désagréable au final. »
- Jessica Émond-Ferrat, Journal Métro
« Présenter en concert un album aussi riche en arrangements et aussi fourni en musiciens que "Cette chose qui cognait au creux de sa poitrine sans vouloir s’arrêter" peut s’avérer un exercice casse-gueule, surtout la première fois. Or, Antoine Corriveau entouré d’un solide trio de musiciens a démontré à quel point ses nouvelles chansons, même légèrement dévêtues, conservent toute leur âme et leur charge émotive. »
- Julien Baby-Cormier, ecoutedonc.ca
« La pièce suivante, Les trous à rats, démontre toute la puissance de l’orchestre qui accompagne l’auteur-compositeur. Les musiciens atteignent un climax musical à nous donner la chair de poule, les paroles évoquant de vigoureuses images cinématographiques. »
- Mathieu Aubry, Feu à Volonté
« Il chante des mots qui caressent, qui désirent, qui égratignent. Des textes extrêmement fins, dignes des plus grands. Les mélodies qui passent sont toutes plus belles les unes que les autres. [...] Entouré de ses quatre musiciens, il mettait un terme à la tournée de son magnifique premier album complet, St-Maurice/Logan, un disque essentiel qui doit rester gravé dans l’histoire de la chanson québécoise. »
- Ariane Gruet-Pelchat, La Grue
« Tel un accident ambulant, il a l'air d'être ici comme au milieu d'un hasard, et sa poésie nous rentre dedans avec émotion. [...] il y a un petit côté des jeunes talents qui ont le potentiel pour devenir très grand et surtout très longtemps. Mélodies mélancoliques et coups d'éclats ou de gueule, on attend la suite à son premier album avec un intérêt qui frôle l'impatience. »
- Yolaine Maudet, Neuf Bulles dans le ciel
« [...] le public tend l'oreille, se suspend à sa voix qui tisse au fil des phrases des tricots de photos poignantes. La première chanson, plus intimiste, n'est qu'un duo de voix et déjà, la puissance des textes et la mélodie me gagne. Alors quand tout le groupe s'en mêle, s'emmêle, le résultat est grandiose. Et le Lion d'Or semble trop petit pour contenir sa poésie. »
- Audrey Canuel, Scène 1425
« Avec ses textes et ses mélodies, il réussit à créer facilement une ambiance autant sur scène qu'à travers la salle. Avec son folk rock planant, Antoine Corriveau nous fait voyager dans son univers musical bien fuselé. Antoine Corriveau a une qualité d'auteur d'une force incroyable et très imagée. »
- Sylvie Rémillard, Sors-tu.ca
« [...] les premières parties sont souvent les génies de demain. Pour Corriveau, nul doute que le passage du Printemps Érable a fait son chemin et que cette force créatrice a donné un supplément d'âme à ses compositions. Avec quasiment que des inédits, une vraie primeur, on sent un soupçon de Noir Désir là-dessous, ambiance « Des visages, des figures », la voix moins éraillée mais le même langage propres aux (en)voleurs de mots. »
- Yolaine Maudet, Neuf Bulles dans le ciel